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vendredi 1 mars 2013

premier trek en solitaire....


24 février : la journée s’annonce un peu triste. Tout d’abord je ramène à l‘aéroport ma partenaire de trek à 7H30, le good bye est rapide étant donné que je n’ai pas le droit de rentrer. Je reprends un taxi qui m’amène à la station de bus pour Dumche, le dernier part à 8h30 et j’arrive à monter dedans. C’est parti pour 120km et donc 8H de bus local. J’apprends rapidement que je n’aurai pas de jeep qui m’amènera Syabrubesi et que donc demain matin je devrais y aller à pied et commencer de suite le trek, ce qui signifie qu’atteindre le Pic de Tsergo ri à 5000m en 5j aller-retour devra se faire en 6. Le bus local classique je fini avec un enfant sur les jambes et la route est aussi pourri que prévu, pour achever le tout il pleut. 14H30 le bus s’arrête en plein milieu de la route, il est en panne… nous sommes à 20km de Dumche, la seule solution est de finir à pied. Par chance je trouve un guide local dans le bus qui parle anglais et qui m’explique ce qui se passe, nous entamons la route ensemble.
Un gros quart d’heure passe, un jeep luxueux venu de nulle part arrive. A l’intérieur, un guide et 2 jeunes allemandes qui partent pour un trek acceptent de me prendre dans leur véhicule et de m’amener directement à Syabrubesi. Une chance incroyable qui me permet de finalement atteindre mon premier projet.
Le lodge est trouvé, je me balade dans la ville ou je rencontre un couple de breton (saint malo c’est bien la bretagne ????) et nous assistons à la dernière étape d’une cérémonie boudhiste avec danse chant feu etc…
Cette journée qui s’annonçait toute triste finalement a été plein de rebondissement, je file me coucher avec le sourire en passant a mon trek du Langtang en solitaire.

25 Fevrier : 7h50 de rando, départ de 1500m, une arrivée à 3210m, 2014m de dénivelé positif et 322m de dénivelé négatif. Autant dire là je suis à Thangshyap et j’ai le dos en feu avec mon sac beaucoup trop lourd. La rando a commencé en toute beauté lorsque je je me suis rendu compte que j’ai oublié ma trousse de toilette dans ma précédente lodge, déjà 1h que je marche tant pis pas de déo pour les 4 prochains jours. Sinon le chemin est juste superbe j’ai traversé une longue forêt en croisant même des singes, puis à 3000m changement de décor avec le début de la neige et la vue sur les glaciers. Toutefois tout juste arrivé à Thangshyap, une famille Tibétaine composée des parents et de 2 sœurs gérant un lodge m’ont proposé une chambre. Dans la pièce chauffée (+ou-) j’ai commencé à installer l’ordi pour écrire et trier les photos. Là là toute la famille m’a regardé et une séance photo s’est mise en place. Une des sœurs s’est même changée pour faire une photo de famille que je dois leur envoyer….un jour… si le courrier arrive. C’était drôle de les voir émerveiller devant leur propre image. Ah oui quand je parle des sœurs elles doivent avoir une quarantaine d’année. Il est 18h30 dans 30 min je dîne et à 20h je dors……


26 Février :6h46 de marche, pic à 4430m, 1330m de dénivelé positif, 700m de dénivelé négatif.  la nuit fut courte et fraiche, peut être même la plus froide depuis ces 9 derniers mois voir de toute ma vie. Réveillez 2h du matin congelé, j’attends sagement 6H30 pour me réveiller et filer vers Kyanjin Gumba à 3840m. J’y arrive à 12h épuisé et toujours avec un dos en vrac. Je dormirai à Lovely Guest house. En fait j’ai rencontré le propriétaire sur le chemin qui comme d’hab m’offre le logement si je dine sur place et surtout me propose de me preter ses crampons pour l’ascension des 5000m qui est enneigé et qui n’a pas été ouvert. On verra. Quoi qu’il en soit la je mange mes pâtes et fais une sieste. Réveil 14h je me décide de me balader un peu c’est-à-dire d’atteindre un col à 4400m, la vue est superbe. Je rentre je me renseigne pour savoir si des groupes montent à 5000. Non personne, on verra demain.
27 février :9h31 de marche, un pic à 4830m, 1000m de dénivelé positif, 1430m de dénivelé négatif. 3ième Trek, troisième échec, à croire que je ne suis pas fait pour ce sport à moins qu’il serait intelligent pour le prochain de davantage se renseigner sur la météo. Ce matin tout avait pourtant bien commencé avec une météo encore très ensoleillé, un départ comme prévu à 7h30 sans courbature et en pleine forme, Les crampons , quelques vivres de l’eau. Tout pour réussir. Je me renseigne une dernière fois auprès d’un guide (qui me dissuade une nouvelle fois d’y aller) pour confirmer quel est le bon col que je souhaite faire et je m’engage dans la neige. Au bout de 2h30 je suis déjà à 4400m, je viens de passer une première difficulté mais je me rends bien compte que le pire est à venir. La neige recouvrant tout je ne sais trop quel chemin créer. Le soleil frappe fort, la neige par endroit commence à ramollir ce qui ne m’aide pas dans ma progression. J’entends une première avalanche mais sur un autre col que le mien je garde le moral et continue d’avancer. J’hésite à mettre mes crampons mais je ne trouve aucun point stable afin d’essayer de les enfiler donc je ferai sans. Comme toute expédition le moral varie surtout en fonction du danger qui m’entoure. A 4800m, je me retrouve entièrement sous la neige, seul mes bras dépassent et je m’aide de mes batons pour me hisser. je continue un peu en rampant dans la neige, puis une avalanche me souffle à l’oreille et me conseil de faire demi tour. Il est 13h, le retour me semble aussi difficile que l’aller je vais l’écouter. Un peu triste mais en même temps soulagé qu’il ne me soit rien arrivé, j’entame la descente. Près du village je croise un couple de chinois avec leur guide qui en fait ont passé la matinée à m’observer avec des jumelles, me demandent de prendre des photos avec eux et me surnomment : the strong men, c’est bien la première fois que l’on me dit que je suis fort J. Il est 15h30 je mange un plat de pâtes, fait ma valise et décide de marcher jusqu’à Langtang à 2h de marche afin de gagner du temps pour demain. Là je suis au coin du feu à l’Himalaya Guest House. J’ai rencontré la propriétaire sur le chemin qui m’a proposé une chambre pour ce soir. Je bois un chocolat chaud fait sécher mes chaussures et ne vais pas faire long feu avant d’aller me coucher.
28 février : pour ce dernier jour 7h de marche, 320m de dénivelé positif et 2200m de dénivelé positif pour une arrivée à 15h à Syafrubensi. Comme depuis le début, un soleil de plomb et une forme olympique pour cette longue et dernière descente. Je pense que l’idée de prendre une douche chaude et de retrouver ma trousse de toilette m’a donné une force inattendue, je me suis même surpris de faire une partie en courant. Et oui dès mon arrivée je me suis longuement délassé dans la salle d’eau certaine sommaire mais qui après ces 4 jours me parue digne du Hyatt. Si on conclu donc ces 4 jours : un visage brûlé par le soleil, un pic non atteint, plus de 30h de rando, 10000m de dénivelé, le tout avec un sac à dos de 15 kilos…. Et là que c’est fini je ne pense qu’à une chose mon prochain Trek…. Je me sens bien le mont-blanc cet été… à croire qu’au népal j’ai découvert un nouvel hobbie.

des Annapurma à Pokhara


10 février : 7h il est l heure de quitter le luxe du hyatt pour 10 jours de trek. Tout d abord 8h de transport dans 2 bus très sommaire surtout le second avec une route qui n en est pas, le guide nous rassure en nous disant qu’il n y a jamais d accident ou presque jamais .....
Peut importe, une petite heure de marche nous attends avant de trouver notre premier lodge.
L endroit est cosi, le temps de boire une bière de prendre une douche, de dîner et au lit.

11 février: on se dirige vers tal 7h30 de rando et plus de 1300m de dénivelé positif, contre l avis de notre guide qui voulait s arrêter plus tôt mais nous sommes têtus et y arrivons. 

12 février: objectif Chame, 2670m. Sur le chemin nous rencontrons 2 hollandais d un âge certain qui nous annoncent -15 degré la nuit dans le Lodge et 50cm de neige sur le chemin. Petite baisse de moral va-t-on arriver au bout. Qu’a cela ne tienne nous arrivons a Chame comme prévu avec 1 jour d avance sur l itinéraire classique, et oui on a pas chômé. 

13 février : il est l heure d atteindre pisang et ces 3250m. Comme nous l avez prédit les hollandais neige et froid nous attendent. 5 h de marche plus tard on s isole dans la chambre puis au près du feu de la Lodge en attendant le dîner et de se coucher sous duvet et couverture en voyant la neige tomber ...

14 février : la route n’est pas longue, le dénivelé non plus, jusqu’à Manang et de plus le soleil est revenu, on pourrait croire que tout va pour le mieux. Sauf que là, le guide nous trouve une auberge qui ne fait vraiment pas envie et on doit y rester 2 jours. Dans cette même auberge nous croisons un groupe d’anglais, certainement des militaires, ma partenaire se sent un peu seule femme au milieu de tous ces hommes. On décide de trouver une autre auberge, la chambre paraît au premier abord un peu mieux mais c’est juste au premier abord. On finira par dîner au restaurant du premier Hôtel qui a un feu et un peu d’animation. Ce soir on dîne super tard 20h, on regarde un film et on se couche à plus de 23h…. c’est fête en même temps demain c’est off. Ps le mauvais temps revient.

15 février : On est reparti pour une journée blanche, rien de bien grave de toute façon nous devons rester ici pour s’habituer à l’altitude. On se motive tout de même pour une petite balade de 3h jusqu’à un temple se situant à 4000m et malgré la neige la vue sur les montagnes et Manang est très jolie. On retourne à reculons dans notre hôtel qui est tout sauf agréable, de plus on est les seuls clients, je ne parle pas de la propreté, on se croirait en chine. Peu importe l‘après midi est consacré a faire un peu de shopping (carte postale, gants, bonnet que j’ai oublié à Chame) et de se trouver une guest house avec un feu ou nous pourrons rester au chaud. Par chance nous en trouvons une plutôt cosie pour cette ville. On s’y installe et passerons toute la journée jusqu’au diner. Nous faisons la rencontre de 2 ardéchois qui font leur trek avec 2 new-zélandais et une américaine.

16 février : L’acclimatation à l’altitude est finie, nous devons quitter cette mauvaise auberge et rejoindre Letdar. 6h30, le réveil sonne et nous comprenons très vite que nous allons devoir attendre un jour de plus ici. La neige ne cesse de tomber. Hors de question de rester une nuit de plus ici, nous faisons les bagages et atterrissons dans l’hôtel où nous avons passé la journée d’hier avec nos nouveaux amis de galères. Nous passerons la journée à discuter et à jouer aux cartes. Le moral sera toute la journée assez triste. L’attente et la neige n’arrange rien, tout le monde y va de son petit commentaire pour la suite et personne en dehors de moi-même imagine pouvoir finir ce trek. Devant autant de pessimisme, il est difficile de garder l’espoir mais j’y crois.
17 février : Toujours un ciel bien bas, le centre météo annonce du soleil l’après-midi donc tout Manang se décide d’affronter le chemin jusu’à Yak(4100m) ou encore Letdar (4200m) pour les plus motivés que nous sommes. Etant donnée que le chemin est totalement recouvert nous nous suivons tous en laissant pour la première heure un groupe d’une dizaine d’hollandais et de leur guide ouvrir la route. Première faille au bout de 45 min une des participantes s’arrête et pleure. Le froid, la fatigue, la difficulté plus nous apprenons qu’elle était déjà blessée avant l’étape de la journée. Cela commence mal. A la première pause notre guide décide d’ouvrir la route et nous le suivons juste derrière. Cela va durer 3h à franchir mètre par mètre, en se perdant ne trouvant pas le chemin recouvert par plus d’1,5m. Nous entendons les guides et les porteurs discuter pour trouver la route mais personne ne se met vraiment d’accord. Par miracle nous voyons des Yak qui nous ouvrent la route mais cela ne dure que quelques minutes avant que ces derniers se calent dans la neige et nous laissent passer. Notre guide par moment s’allonge entièrement dans la neige afin de créer le passage mais cette balade devient un vrai calvaire. Arrivé au pont nous permettant d’atteindre Yak, un groupe d’une dizaine de militaire anglais (taille minimum 1,9m et 100kilos de muscles) accompagnés de leurs guides et porteurs nous passent devant et prennent le relais. Notre guide est épuisé, la neige ne cesse de tomber, nous comprenons à partir de là que la traversée et le col des 5400m est définitivement perdu. Le choix doit être fait et nous décidons de retourner à Manang, 2h30 de plus en sens inverse. Le retour sous la neige qui continue de tomber se fait sur un pas rapide. Pour la première fois notre guide ferme la marche tellement son effort à l’aller fut important. Sans un mot nous retournons à notre Lodge se réchauffer au coin du feu. Nous retrouvons nos compagnons mais aussi les hollandais qui avaient décidé depuis bien longtemps de faire demi-tour. Cela fait 6h30 que nous sommes partis sans faire vraiment de pause, il es temps de commander notre déjeuner, puis de lire, jouer au carte et se regarder un film avant de s’endormir et d’espérer un temps plus clément pour notre retour vers pokhara.


18 février : Enfin le soleil fait son apparition, on l’a tellement attendu et cela fait vraiment plaisir pour parcourir les 35km qui nous attendent jusqu’à Chame. On part d’un bon rythme dans 40 cm de neige sur une route à peine faite, et certes nous avons parcouru le même chemin à l’aller, mais là avec toute cette neige, le paysage paraît totalement différent. En tout cas malgré les 8h de rando qui nous attend, malgré la tristesse de ne pas avoir pu finir la traversée, toute la journée je ressens une sorte d’euphorie et de bonheur. Certainement le fait de se dire que bientôt nous allons retrouver le confort. Quoi qu’il en soit cette descente fera partie des bons moments avec à l’arrivée une certaine satisfaction lorsque l’on se rend compte de ce que l’on a du monter pour arriver quelques jours plus tôt à Manang.

19 février : Denier jour de marche, on devrait en théorie faire que 29km de descente et récupérer un jeep pour faire le reste de la route. Déjà à l’aller, cette partie était la moins intéressante, alors dans l’autre sens je vous laisse imaginer. Même le déjeuner, le guide nous l’a fait prendre dans un cabanon tout pourri en plein vent. Pour achever le tout à l’arrivée pas de jeep, on doit encore descendre 4 km de plus pour aller dormir à Jagat. Cette dernière journée est interminable mais une fois au lodge le sourire revient. Fin du trek certes qui n’a pas débouché sur un col à 5400 mais au vu des conditions atteindre Yak et ces 4100m, c’est déjà un exploit. Petite satisfaction tout de même on recroise à l’arrivée un jeune danois et son compagnon anglais que nous avons plusieurs fois croisés qui nous annoncent que les militaires anglais et leurs guides ont également fait demi-tour qu’il n’y a rien a espérer avant minimum 5j. Pour finir ces jeunes qui semblaient être increvables arrivent dans un état bien plus pitoyable que nous au même endroit. La satisfaction peut paraitre légère mais après la fatigue et la déception de ne pas atteindre notre objectif tout compte.

20 février : un programme super sexy pour mon anniversaire : 4h de jeep sur des non-routes et 5h de bus local. Nous décidons de se prendre un bel Hôtel à Pokhara et surtout de se faire un bon restaurant le tout arrosé d’un côte du rhône, nous partageons même une banana split en dessert il n’y a pas les bougies mais le cœur y est. Sinon au premier abord la ville de Pokhara n’a pas l’air extraordinaire et on voit bien qu’on est hors saison il n’y a personne.

21 février : Qui dit pokhara, dit capitale mondiale du parapente, on n’a pas le choix on doit essayer…Nous réservons auprès d’une des dizaines pour ne pas dire centaines d’agence un vol pour 13h. un jeep nous amène sur une route escarpée à 1600m sur les hauteurs de la ville. Quelques nuages viennent légèrement gâcher le paysage sur les Annapurna. Les pilotes nous équipent rapidement et c’est parti pour 30min juste superbe : le lac, les montagnes, la ville. Après ces émotions rien de tel qu’un bon massage (bon c’est un peu exagéré disons massage tout court).

22 février : Réveil en douceur et direction les hauteurs de pokhara afin d’admirer la vue sur les annapurma avant que les nuages les cachent. On profitera de ce lieu paisible (nous sommes seuls) pour écrire nos dernières cartes. Puis nous filons de l’autre coté du lac pour atteindre un stupa à 2h de marche dans la forêt. Le retour se fera en barque j’ai même du ramer c’est une honte. L’après midi je retrouve par hasard 2 belges que j’avais rencontré en Birmanie et qui furent coincées comme nous en même temps mais pas dans le même Lodge à Manang. Pour notre dernier soir à Pokhara nous rejoignons nos collègues de Manang pour faire un dîner plutôt arrosé surtout par notre américaine.

23 février : direction l’aéroport pour Katmandu et surtout pour le Hyatt. Le vol au dessus des annapurma est superbe. Arrivé à l’hotel 2 priorités : reprendre une douche chaude et réserver un massage pour le soir. Le Mien sera aux pierres chaudes un vrai bonheur. La journée nous décidons de visiter le centre historique de la capitale, nous sommes à vrai dire assez déçu, en fait comme souvent les villes ne sont pas très intéressantes. Le soir nous irons diner dans un restaurant ou plutôt le restaurant : 1905. La nourriture, le vin, la déco et l’ambiance est plutôt agréable, il manque toutefois le savoir faire à la Française.

l'arrivée au Népal


7 et 8 février : Ce n’est pas longue qu’elle fut la route elle fut interminable, je crois même que c’est la pire de tout mon voyage, il est 7h du matin enfin j’arrive. Le chauffeur me pose gentiment sur le chemin de Thamel centre touristique de Katmandu, où se trouve toutes les guest house. Bon maintenant que je suis installé, j’ai une mission organiser le trek des annapurma, trouver guides, porteur, acheter l’équipement qui me manque et préparer l’arrivée d’Armelle. En plein Thamel, on est très vite alpaguer par les agences et il s’avère assez facile de tout mettre au point. Je n’ai plus qu’à visiter un peu la ville et à apprécier l’atmosphère. Comme toute capitale ce n’est pas extraordinaire surtout hors saison où l’animation est presque inexistante. En revanche les népalais apparaissent plutôt sympa.

9 février : Dans quelques heures Armelle arrive je dois la récupérer à l’aéroport. Le matin j’en profite pour aller jouer aux échecs avec quelques Népalais jouant sur le trottoir près d’un temple et d’extirper 500 roupies à mon adversaire. Me voilà à l’aéroport, je retrouve Ma future partenaire de Trek et direction le Hyatt. Et je confirme je préfère le luxe au guest House, mon prochain tour du monde se fera dans le confort, faut juste que je gagne au loto J. Malgré le décalage horaire Armelle parait assez en forme on va se balader aux environs de l’hôtel on fini au resto vers Thamel mais on reste sage demain commence notre aventure.